Commencer un art martial à 50 ans ? L’exemple de Ghislaine Soulet

Ghislaine Soulet, commencer à 50 ans

Arriver à un certain âge, beaucoup de portes semblent se fermer à celui ou celle qui aimeraient s’engager dans une pratique physique. Que ce soit des barrières mises par les clubs sportifs, ou des croyances limitantes que l’on s’impose, le résultat revient le même : à 50 ans, peu sont les personnes qui se lancent à corps perdu dans le sport.

Ghislaine Soulet, 4e Dan Birankaï, nous prouve le contraire. Mickaël, pratiquant du DAC et blogueur, a partagé un moment de discussion avec cette femme aux parcours extraordinaires.

Vous êtes prêts à ne plus avoir d’excuses pour venir pratiquer ?

C’est parti !

Si vous pensez que cela peut donner envie de passer à l’action et donc à la pratique, n’hésitez pas à partager.

(la retranscription texte est disponible en cliquant ici)

2 Comments

  1. Quaban

    Bonjour,
    J’ai commencé à 52 ans, les deux premières années il y avait des jours où je n’avais pas envie et je me forçais un peu. J’étais satisfait de mon shodan mais après le Covid nouvelle motivation pour la reprise et nidan à 69ans (en 2024) et je reflechis au nidan aikikai et au sandan.
    Peut être optimiste ?

    Répondre
    1. Dojo Aïkikaï Colmar

      Bravo pour ta persévérance !

      Répondre

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